Netflix n’en ai pas à son premier coup d’essai avec les projets sur les tueurs en série comme avec Extremely Wicked, Shockingly Evil and Vile le biopic sur Ted Bundy ou encore le captivant Mindhunter qui retrace l’histoire des premiers enquêteurs qui ont apportés le profilage au sein du F.B.I et produite par Mr David Fincher s’il vous plait !
Cette fois ci Netflix à laissé carte blanche à Ryan Murphy ( Nip/Tuck, American Horror Story ) s’occuper du cas Dahmer avec une série de 10 épisodes complétement en raccord avec l’univers de Jeffrey Dahmer : glauque et morbide !
Ryan Murphy qui n’en ai pas à son premier coup d’essai, nous livre la une série maitrisé de A à Z tant l’histoire arrive aussi bien à nous mettre sous tension qu’à nous captiver aussi bien par la mise en scène que par l’interprétation des comédiens qui sont , tous sans exceptions, d’une justesse à couper le souffle.
Des Interprétations magistrales
Évidemment comment ne pas parler d’Evan Peters dans le rôle de Dahmer qui nous livre une prestation glaçante de vérité , le comédien est littéralement habité par le rôle : regard vide, façon de se mouvoir très monolithique…il est juste terrifiant de justesse .
Le casting secondaire est lui aussi aux petits oignons puisque Richard Jenkins qui interprète le père de Dahmer est proprement impeccable dans rôle du père désarmé face à un fils qu’il voit peu à peu prendre le mauvais chemin.
Ou encore le personnage de la voisine De Dahmer ( Glenda Cleveland ), méfiante et sacrément courageuse quant à travers son appartement elle entend ce qui , plus tard, lui révèleront être les cris des victimes.
Une série captivante…et documenté !
Cet article étant sans spoiler, je m’arrêterai la pour ce qui est de l’intrigue , en ce qui concerne la série dans sa globalité , c’est un sans faute dans l’exploration d’un cerveau dérangé, on nous emmène évidemment suivre le parcours du petit Jeffrey avec déjà des problèmes durant l’enfance ( divorce de ses parents, fascination pour la vivisection d’animaux morts, etc…), les premiers meurtres et bien sur son procès final.
Au delà d’une photographie très « Fincher » et d’une bonne mise en scène, Dahmer est très bien reconstitué avec des scènes complétements fidèles aux événements tels qu’ils se sont passés réellement tant sur les détails morbides des tortures que sur la personnalité du tueur et son combat face à ses propres démons.
La dernière partie qui s’axe sur le procès de Jeffrey Dahmer est elle aussi une réussite quant à sa reconstitution fidèle par l’interprétation et la direction des acteurs notamment pendant les scènes de témoignages des familles des victimes.
Petit bémol, un léger ventre mou qui s’installe en milieu de saison, avec des séquences d’introspection de Dahmer qui sont parfois un peu longues.
Cependant, Netflix fait la un coup de maitre avec une série sans trop de promotion mais qui fait effet d’électrochoc sur les spectateurs puisque des sa sortie le 12 octobre 2022 , elle est restée 3 semaines consécutives la série en anglais la plus visionnée de la plateforme.
Mention spéciale pour Evan Peters qui nous offre une interprétation glaçante du tueur en série.
When the authors looked at married couples specifically,人形 えろthe average sexual frequency was slightly lower,